Il faudrait faire une étude aérodynamique poussée, mais disons que pour décrocher, comme tout aéronef, la cigogne en vol augmente progressivement l'angle d'incidence, la traînée augmente (force qui s'oppose au mouvement) et finit par annuler la portance; plus de portance, c'est le décrochage par définition, le corps de la cigogne n'est plus soutenu par l'air, et tombe brutalement à la verticale.
Ci-dessus le vol "normal", pattes en arrière, le long du corps, et ci-dessous on décide la descente:
Pour contrôler sa chute libre, la cigogne conserve les ailes écartées un peu souples et bombées, (comme un parachute), les pattes en position verticale bien écartées servent de balancier pour gérer son équilibre, et le sol se rapproche à vitesse raisonnable, qui lui permet de préparer l'atterrissage.
Côté esthétique on peut discuter, mais c'est très efficace! on contrôle l'équilibre tous les atouts sont réunis pour réussir l'atterrissage.
Excellente observation ! Son atterrissage me fait penser aux avions de chasse, le bruit en moins ;-)
RépondreSupprimerBonitas capturas del vuelo de la Cigueña blanca.Saludos
RépondreSupprimerWaou!
RépondreSupprimerSuperbes aussi ces photos!
Je vois ça avec les grues au moment ou elles décident d'atterrir, mais elles sont toujours trop loin pour Nikon!
These have a breathtaking flight! Thanks for sharing!
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerUne technique extra, les autres échassiers n'ont qu'à bien se tenir !!! , une série de photos aussi belles
Bravo et merci, un régal !
Merci à tous pour passer de temps en temps sur ce blog!
RépondreSupprimerDE très belles photos en vol rien de bien simple
RépondreSupprimerJ'en vois mais pas bien souvent vivant dans le SUD
bravo pour ces superbes clichés
j'aime les observer et en vol ce n'est que du plaisir
Merci France, pour ce commentaire sympa!
RépondreSupprimerGreat post tthankyou
RépondreSupprimer